Shin to Yume
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Et si tout était différent? | Hentai / Yaoi / Yuri NC-16
 
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 George Dorndenier - « A cup of tea, my dear ? »

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George Dorndenier
George Dorndenier




Messages : 1
Date d'inscription : 26/08/2010
Localisation : À l’Opium, derrière le bar ou en train de chanter sur une table ~


Once upon a time...
Conte de fée : Alice au Pays des Merveilles
Surnom: Le Chapelier Fou ~
Relations:

George Dorndenier - « A cup of tea, my dear ? » Vide
MessageSujet: George Dorndenier - « A cup of tea, my dear ? »   George Dorndenier - « A cup of tea, my dear ? » Icon_minitimeJeu 26 Aoû - 16:47



    George Dorndenier - « A cup of tea, my dear ? » 100826105941710088
    Prussia, de Axis Power Hetalia



    Me ?


    Nom : Dorndenier
    Prenom : George
    Surnom : Mad Hatter, le Chapelier Fou ou affectueusement Mady ~
    Âge : 36 ans - et toutes ses dents !
    Date de naissance: 25/10/1976
    Groupe : Personnage de contes
    Orientation sexuelle : Hétérosexuel, ce qui n’empêche pas quelques aventures avec la gente masculine…
    Plus d'information.... N’en savez-vous pas déjà assez sur lui ? Et dire qu’il est censé être mystérieux ! Bien, que ne vous ai-je pas encore révélé… il a une légère tendance à donner des surnoms. Anglais, la plupart du temps. Et il en va de même pour les insultes. Autant vous décourager tout de suite : rien, absolument rien, ne le fera changer d’avis. Une fois que vous avez votre surnom, vous êtes foutu ; il vous suivra jusque dans la tombe…


    Caractère
    Gentil & Sans cœur - Doux & Violent - Impulsif & Mystérieux - Excentrique & surtout Lunatique.









Description physique
.


    La beauté n’est qu’un piège tendu par la nature à la raison. »


    Qui aurait cru que le Chapelier Fou soit albinos ? Ce n’était pas marqué dans l’histoire, ça ! Mais n’en voulez pas à Alice ; quand on a de l’opium jusque dans les veines, ce n’est pas facile de bien distinguer les couleurs. Sûrement que, le jour où elle a inventé le Lapin Blanc, avait-elle trop louché au point de fondre en une unique personne George et son ami le Lapin Pressé. Mais, comme je vous l’ai dit, rien de bien grave. Après tout, qui croit aux histoires exubérantes d’une gamine droguée ?
    George est donc ce que l’on appelle un albinos. Ses cheveux sont d’un blond si clair et décoloré qu’ils passent pour blanc et ses yeux sont d’un rouge sang dérangeant. Ils sont frangés par de longs cils blancs et fins, ce qui fait qu’on les qualifie régulièrement de « yeux de biche » et qu’ils lui donnent un air doux et fragile. Vous ne trouverez rien dans son regard, seulement du vide et un mur. La plupart des gens n’aiment pas le regarder dans les yeux, trop effrayant et étrange à leur gout, mais quelques rares fous aiment s’y aventurer. C’est pour ces êtres à part que le mur est là. Pour qu’ils n’aillent pas apprendre des choses qu’ils devraient ignorer et pour qu’ils ne se rendent pas compte de la folie qui est la sienne. Les plus doués pourront même voir luire dans ses iris la petite étincelle d’ironie qu’ils abritent en permanence, pleine de sarcasme et aussi cuisante qu’une bonne claque. Ses sourcils clairs sont difficiles à voir sur son visage pâle ce qui, dans la pénombre, lui donne l’apparence d’un fantôme dépourvu de toutes émotions, image qu’il se plait à accentuer ou à effacer selon son humeur. Dans ces cas là, il aime porter un costume noir, élégant, accompagné du chapeau en feutre assorti, afin de faire ressortir la blancheur de sa peau en contraste avec le noir satiné du tissu. Ainsi accoutré, les gens le trouve effrayant - ce qui l’amuse beaucoup - mais il suffit d’un de ses sourires éclatant et chaleureux pour qu’ils se sentent rassurés. Quels fous… Il faut dire qu’il est beau, George. Et il le sait. Cet homme est un étrange paradoxe, oscillant toujours entre force et faiblesse, douceur et violence. Sa peau arachnéenne, à l’apparence si fragile, recouvre de longs membres fins sans pour autant passer pour féminins. Ses mains sont grandes et chaudes et les caresses qu’elles prodiguent sont douces mais assurées. Des mains d’homme. On aime se blottir de ses bras, bien qu’il ne soit pas bien grand ni pas bien fort. Il mesure environ 1m75 et est musclé comme l’est une personne qui ne fait aucun sport sans pour autant prendre du poids. Oui, lorsqu’il frappe, il fait mal. Mais pas plus qu’un autre. Ce qui n’empêche pas qu’il est agréable à regarder. Très agréable. Des épaules larges et un dos puissant. On peut même voir une couronne fermée tatouée derrière son épaule droite - un souvenir d’une vieille amie à ce qu’il parait, une Reine qui aurait brisé bien des Cœurs… Sa démarche est lente et chaloupée, aérienne. Presque irréelle. Les mains dans les poches ou les croisés sur son torse, on dirait qu’il évolue dans un autre univers que le notre. Pourtant, son dos reste droit et son port altier, comme s’il n’était qu’un simple observateur regardant de loin le spectacle de ce monde… Tout cela pour dire, le Chapelier pourrait être un idéal masculin sur le plan du physique si seulement il n’était pas albinos et sans aucun muscle. Mais, après tout, peut être certaines le trouveront-elles parfait - malgré l’odeur sucrée, douceâtre, de l’opium et du tabac qui le suit où qu’il aille. Oui, il fume. Mais uniquement des cigarettes. Pourquoi ? Peut-être son métier l’a-t-il dégouté de l’opium ? À moins qu’il ait développé une certaine immunité à force de la respirer ? Surement un peu de tout ça, mais la véritable raison est très différente : l’opium ne le fait pas rêver comme il le fait sur les clients du bar ; il n’a pas besoin de drogue pour cela… Oui, donc, où en étais-je ? Ah, je crois qu’il ne me manque qu’une chose à vous dire sur son physique : son style vestimentaire. Vous pensiez qu’il se limitait à son costume de gentlemen ? Mais voyons, ce serait tellement restrictif ! George possède autant de vêtements différents que de caractères. Et autant de chapeaux. C’est de là que lui vient une partie de son surnom d’ailleurs : son impressionnante collection de chapeau. Mais bref, passons, là n’est pas le sujet. Un jour vous le verrez habillé avec classe et élégance, le lendemain vous le trouverez vêtue d’habits de toutes les couleurs, la fois d’après avec un jean troué et un kéfié autour du coup, ensuite ce sera un sweet à capuche rouge sang, voire peut être avec des oreilles de lapins et même, si vous avez de la chance, une robe. Oui, il est tout à fait capable de porter une robe. Et il n’hésitera pas un instant à ajouter une touche de maquillage pour parfaire sa tenue. Bien sûr, il ne le fera pas sans raisons - quoique, les fous ne sont-ils pas censés l’avoir perdue…?


Description phychologique
.


    « Le fou n'est pas l'homme qui a perdu la raison. Le fou est celui qui a tout perdu, excepté la raison.

    Comment expliquer le caractère de quelqu’un que l’on dit fou ? C’est tout simplement impossible ! George ne s’explique pas. George se vit, se ressent. C’est à force d’être à ses cotés qu’on apprend à le cerner, un simple paragraphe d’une vingtaine de ligne ne sert à rien pour le décrire. Vous voulez quand même tenter le coup ? Très bien, allons-y…

    C’est une personne extrêmement complexe et, pourtant, très enfantine. Il est capable d’avoir un raisonnement logique des plus pertinents dans les moments les plus inattendus, tout comme il est parfaitement apte à jeter un client dehors d’un grand coup de pied aux fesses sans aucune explication. Un jour il vous accueillera chez lui à bras ouverts et le lendemain vous révélera des vérités anatomique sur votre mère que vous auriez préféré ignorer. En fait, ce qui était vrai hier ne l’est plus aujourd’hui. Prenez un exemple : vous venez le voir à l’Opium et, Ô surprise !, il vous offre un thé. Il faut savoir que Mady adore tout simplement le thé - vous pourrez admirer sa remarquable collection qui est rangée sur les étagères derrière le comptoir du bar. Oui, toutes ces boites sont emplies de thés différents. Et hors de question d’y toucher ! Le simple fait de proposer un thé à un client pour un serveur est synonyme de renvoi immédiat. Ceci est la propriété du Patron et seul lui à le droit d’en user. Et il ne le fait que rarement. C’est simple, le fait de vous offrir un thé est un grand compliment pour vous. Un signe de respect, de fraternité, d’amour, de tout ce que vous voulez ! C’est presque un titre honorifique « A bu le thé avec Mad Hatter ». Et le refuser est tout simplement impensable, bien sûr. Ce serait comme lui cracher à la figure. Autant tout de suite écrire son testament si c’est pour mourir si jeune. Et pourtant… Ce refus qui vous aurez couté la vie la vieille - pas que George soit bien costaud, comme vous le savez, mais il a des amis qui le sont pour lui - ce type, là, assis sur son tabouret, vient de le prononcer. L’assistance au complet retient son souffle, même la fumée semble immobile, attendant que quelque chose se passe. George explose de rire, lui dit qu’il est un « sacré petit gars » et lui enfonce son chapeau sur la tête avant de s’éloigner vers d’autres occupations. Vous, vous seriez mort, lui, il a gagné un chapeau du Chapelier en prime. Cela n’a pas de sens. Ça ne s’explique pas. Ce type est juste cinglé.
    Pour sa défense, il faut savoir que George ne voit pas les mêmes choses que nous. Il est victime de ce que nous appelons « hallucinations ». Les rares médecins et autres spécialistes qui l’ont étudié disent que cela remonte au traumatisme de son enfance de la perte de ses parents et de leurs absence. De ce fait, qui sait ce qu’il voit quand il met un client à la porte ? Ou quand il propose une tasse de Earl Grey à un parfait inconnu ? Ces mêmes docteurs disent que ses visions sont la matérialisation de son instinct animal qui le guide de façon implicite. Et, effectivement, jusqu’ici, ses hallucinations l’ont rarement trompé…

    C’est donc un être complexe et se fiant aveuglément - ou presque - à son instinct. Mais c’est aussi quelqu’un d’intelligent - il aurait peut être même pu devenir très intelligent avec l’éducation appropriée que, malheureusement, il n’a pas eu - d’une logique effroyable et aussi têtu qu’une mule dans certaines situations. Oui, je sais, tout cela est très paradoxal. Mais, que voulez-vous, il est ainsi.
    George adore le poker. Il aime ça et y joue sans modération. Ce qui l’attire dans ce jeu c’est, plus que l’adrénaline qui court dans nos veines devant ces montagnes d’argent, le défit continuel qui s’en dégage, la véritable torture mentale pour évaluer ses chances de gagner comparées à celles de son adversaire. Sans parler du bluff. Quelle merveilleuse invention que le bluff ! Et quoi de mieux qu’une réputation de fou à lier pour tromper la personne en face ? Donc, Mady adore le poker. Il y joue, et gagne, très souvent. C’est un véritable passionné. Mais il déteste les échecs. C’est presque physique à tel point ce jeu le rebute. Il est capable de piquer une crise comme un enfant de 5 ans, se roulant par terre en criant de toutes ses forces si quelqu’un tente de le pousser à y jouer. Un vrai gamin. Surtout que, il serait bon s’il y jouait, vraiment très bon. C’est à n’y rien comprendre. La rumeur dit que son aversion pour ce jeu vient du fait que, la première fois qu’il y a joué, il s’est fait lamentablement écraser. Mais, si vous lui demandez, il vous dira que c’est parce que c’est trop facile. Pas de bluff, pas de triche, par d’enjeu qui en vaille la peine. Où est l’intérêt ? Il va sans dire que personne n’a jamais été contre ses arguments, lui disant qu’ils ne tiennent pas la route. Personne n’est assez fou pour…
    Ainsi, il y a toute une série de choses que le Chapelier aime sans logique aucune et, comme par opposition, toute une autre qu’il déteste du plus profond de ses entrailles. Il apprécie le thé, les chapeaux, le tabac - sans pour autant être dépendant - le poker - mais pas les échecs comme vous venez de l’apprendre - mais aussi les animaux. George aime beaucoup les animaux, mais seulement certains d’entre eux. Les lapins, bien évidemment. C’est mignon et inoffensif - si on oublie leurs quenottes affutées. Presque des peluches. Mais il ne peut rien leur reprocher ; la nature ne les a pas armés pour qu’il en soit autrement. Les oiseaux aussi, et les chats. Il aime leur indépendance farouche et il jalouse leur don pour rejoindre le ciel. Lui aussi il aimerait tant voler, mais il est né humain pour son plus grand malheur. Par contre, il n’aime pas les corbeaux. Ce n’est pas pour autant qu’il lance une pierre sur chaque représentant de cette espèce, non il sait très bien que ça ne servirait à rien. Il les traite plutôt comme on traite un vieil ennemi, avec cynisme et rancœur, allant jusqu’à le sauver pour être sûr d’avoir le privilège de le tuer soi-même. Les corbeaux font partis des rares bestioles qu’il n’apprécie pas, avec les chiens. Même les araignée sont préférables à ses yeux. Ce n’est pas qu’il ne supporte pas les chiens, c’est un drôle de mélange d’admiration, d’énervement et de pitié. Ces magnifiques créatures que sont les loups réduites à l’état de chien-chien à sa mémère. Quelle tristesse. Il est tout simplement béat d’admiration devant leur loyauté sans faille même s’il est incapable de les comprendre. Quand il voit un chien se faire maltraiter et couiner gentiment pour se faire pardonner, ça l’énerve. À quoi lui servent ses crocs ? Il doit avoir le cerveau atrophié pour s’accrocher autant à quelqu’un qui lui fait du mal. C’est pitoyable. Qu’y-a-t-il d’autre qu’il aime, hum… les énigmes ! Un de ses divertissements favoris, les énigmes et autres devinettes. Vous ferez de lui un homme heureux si vous lui en racontez une autour d’une tasse de thé. Et puis la musique aussi. Il adore ça. Mais attention, il est très difficile ! Il n’écoute que de la musique classique et du rock. Oui, ça et uniquement ça. Tout le reste, c’est à chier. Lui, étroit d’esprit ? Non, pas vraiment, juste très têtu…
    Une dernière chose. Ce n’est pas que Mady aime vraiment ça - quoiqu’il commence à y prendre gout avec les années - c’est surtout qu’il à un tel talent pour que ce serait un crime de le gâcher. Écouter. Oui, il possède un don rare pour l’écoute. Cela peut paraitre surprenant mais, avec le métier qu’il a, c’en est presque logique. Les langues se délient, que ce soit sous l’effet de l’alcool ou de la drogue et avoir une oreille attentive à portée fait partie des services que devrait offrir tout bar qui se respecte. Et puis, il faut dire qu’il écoute avec tant d’attention ! Votre problème semble vraiment le passionner ! Il vibre aux moments intenses de l’histoire, soupir de soulagement quand vous vous êtes sorti, s’énerve avec vous quand votre femme vous cri dessus injustement et vous verse un verre de plus lorsque vous en avez besoin. Verre que, bien sûr, il n’oubliera pas de vous facturer - en fait, ça varie de son humeur et de la qualité de votre histoire mais généralement votre porte-monnaie en prend un coup. Honnêtement, il aime écouter les gens parler. C’est presque de la fascination, même si parfois les racontars d’un ivrogne ne sont pas des plus intéressants. Heureusement pour lui, ce n’est pas toujours le cas. Oui, les gens parlent plus librement en sa présence et avec un bon verre d’alcool dans la main - après tout, il est fou, alors pourquoi se soucier de ce qu’il va entendre ? Et, de temps en temps, laissent échapper des vérités qu’ils auraient mieux fait de garder pour eux… Vous l’aurez compris, notre Mad Hatter est une véritable mine d’informations. Que ce soit grâce à son bar ou à ses nombreux contacts avec les trafiquants de drogue locaux - que voulez-vous, ce n’est pas parce qu’on est presque légalisé qu’on ne continue pas d’entretenir ses vieilles relations - George est au courant de choses que beaucoup ignorent et que lui-même ferait parfois mieux d’oublier.
    Il existe différents façons de profiter de ses services même si, sans originalité aucune, la plus efficace reste l’argent. Le prix varie selon l’information, la personne qui la lui a fourni et la personne qui souhaite l’acheter. Il est tout à fait possible qu’il vous offre l’info gratuitement parce qu’il aime bien votre tête - ou déteste celle de son informateur - tout comme il peut refuser de vous répondre, tout simplement. Autrement dit, c’est tout à fait aléatoire.

    Vous aurez saisis, le Chapelier est imprévisible et paradoxal. Doux et tendre en amour, violent et passionné en combat… Ah, ces derniers points vous étonnent ? Aurais-je oublié d’en parler ? Mea culpa ! Je me rattrape de suite : il est d’une douceur étonnante dès qu’il s’agit d’amour, dévoilant un romantisme insoupçonné. Cette attitude de Roméo peut déplaire à certaines ( certains ? ) et je rassure ces pauvres âmes : il n’attend qu’un signe de l’autre pour se déchaîner…
    Pour ce qui est du combat je comprends que vous soyez surpris. C’est vrai, après tout, George n’est vraiment pas quelqu’un d’impressionnant vu sa masse musculaire. C’est plutôt même tout le contraire. Mais ce n’est pas dans ses muscles que se trouve la source de sa force. Sa agile est d’un cynisme incroyable, plus cuisant que la plus chaude des claques. Il est d’un sans cœur inhumain dans certaines situations - parce qu’elles l’exigent ou parce qu’il a passé une mauvaise journée, allez savoir - et ne revient jamais sur ses décisions, ce qui donne à sa parole force de loi. Un mental d’acier, à toutes épreuves, est la dernière raison de la crainte qu’il inspire. Mady est une lavette, avouons-le. Il n’est ni rapide ni très agile. Il n’a absolument rien pour lui. Juste sa folie. Il ne s’engage jamais physiquement dans un combat, il préfère laisser cela à d’autres, mais, lorsqu’il le fait, c’est que sa haine est plus forte que ses visions. Plus forte que son instinct de survie. Dans ces cas là, croyez moi, vous êtes en danger. Car il se relève toujours. Vous aurez beau le faire tomber au sol, le ruer de coups, il aura beau s’effondrer sous vos poings, crier lorsque vous lui casserez le nez, lui fracturerez les côtes, il se relèvera. Tant qu’un souffle de vie, même minime, l’agitera, il se relèvera. Et, tel un zombie ensanglanté, se jettera sur vous, bien décidé à vous dépecer à coup de dent s’il le faut. Là est sa force. Bien sûr, il mourra surement juste après vous mais, au moins, vous serez passé dans l’autre monde avec lui. C’était son but. Et il ne rechigne devant rien pour l’accomplir.

    Heureusement pour lui comme pour nous, tout cela n’arrive que très rarement voire jamais. Après tout, il faudrait être fou pour l’énerver de la sorte…



    Je réalise que j'ai fait de mon pauvre Mady un véritable Parrain de la mafia xD Je suis désolée si cela vous gêne et n'hésitez pas à me le dire si vous voulez que je modifie quelque chose ^^'


Histoire
.


    « Why is a raven like a writing desk ? »


    George avait 3 ans la première fois qu’il vit le bureau. Assit sur sa chaise trop grande pour lui, ses petites jambes se balançant dans le vide, il regardait d’un air émerveillé le meuble en face de lui. Qu’il était beau ! Il semblait comme fait de couleurs multiples, qui se fondaient les unes dans les autres sans jamais qu’une couleur précise ne prédomine. Elles se livraient une véritable guerre et l’enfant suivait avec fascination les arabesques qu’elles formaient dans leur combat bariolé. Il décida qu’il aimait beaucoup de bureau. Il était si joli, il ne pouvait en sortir que quelque chose de bien ! Un arc-en-ciel chatoyant se dessina alors et un cri réjouie s’échappa de ses lèvres tandis qu’il frappait dans ses mains, s’attirant par là l’attention des adultes posés dans un coin de la salle.

    L’assistant social regarda avec étonnement le bout de chou sur sa chaise. Qu’avait-il vu qui l’avait fait rire de la sorte ? Il tourna son regard interrogateur sur l’homme en face de lui.
    « Les médecins disent qu’ils souffrent d’hallucinations, lui expliqua-t-il, morose. Il a reçu un terrible choc dans cet accident, aussi bien physique que psychologique. Ils espèrent que ça lui passera mais rien n’est moins sûr… »
    Il hocha une fois la tête pour signaler qu’il avait compris puis raccompagna le policier jusqu’à la porte, le remerciant de lui avoir emmené l’enfant et lui certifiant qu’il était entre de bonnes mains. L’homme repartit sans se retourner.
    Il soupira longuement ; un petit atteint d’hallucinations, rien que ça ! Comment allait-il faire pour le caser celui là ? Ses parents n’étaient pas morts depuis un mois que déjà il se retrouvait dans son bureau ; les choses n’avaient pas trainé. Il prit son sourire le plus rassurant et alla s’asseoir derrière son bureau, posant ses mains dessus ce qui provoqua un nouvel accès de rire chez George. Il se demande vaguement ce qu’il devait voir avant de décider que ça n’avait aucune importance ; au moins il était joyeux, c’était déjà ça.

    Le monsieur posa ses mains sur le bureau magique ce qui, aussitôt, les colora. Elles commencèrent par prendre une couleur indéfinie avant d’être tachetées, puis zébrées. Il ria de plus belle et comprit que le monsieur aussi était gentil. Il avait l’air fatigué, usé et il sentait fort le café, mais il était gentil. Sinon, le bureau ne lui aurait pas prêté ses couleurs. Il s’assit en face de lui et lui fit un gentil sourire avant de plonger dans une montagne de feuille et d’en ressortir avec une en particulière.
    « Tu es George, c’est ça ? »
    Soudain intimidé, le garçon se contenta de hocher vigoureusement de la tête. Le monsieur le fixa avec une drôle de lueur dans le regard puis posa la feuille. Il croisa ses doigts et s’appuya de toute la longueur de ses avant-bras sur la table, les parant de couleurs vives. Il était vraiment très gentil.
    « Est-ce que tu sais qui je suis, George ? Je suis un assistant de social, ajouta-t-il devant la dénégation de l’enfant, mais tu peux m’appeler Tom. Je suis là pour te trouver un endroit où habiter, une famille qui s’occupera de toi.
    _ Mais pourquoi ? »
    C’était la première fois qu’il parlait et il renfonça aussitôt sa tête entre ses épaules lorsque le regard de Monsieur Tom se fit attentif. Un pli soucieux barra son front quand il reprit la parole :
    « Je… je ne sais pas si les policiers ou les infirmiers te l’ont dit mais tes parents…
    _ Je sais, le coupa George. Ils ont été enlevé par les corbeaux. »
    Le monsieur assistant social le regarda bizarrement et il se demanda s’il avait pas dit une bêtise.
    « Les corbeaux, George ? J’ai peur de ne pas comprendre.
    _ Mais siiii, vous savez, les corbeaux ! s’exclama-t-il en accompagnant sa phrase de grands gestes mimant approximativement des ailes. Ils sont venus et ils ont piqué Marie, du coup, elle est partie avec eux. Après ils ont piqué maman et puis papa. »
    Satisfait de son explication, il se rassit au fond de sa chaise. Si le monsieur comprenait pas après ça, c’est qu’il était vraiment bête.

    Tom fixa le garçon sans comprendre. Il reprit sa feuille et chercha quelques indices pour le guider sur la voie de la compréhension. Ah, Marie était le nom de sa grande sœur, de 9 ans son ainée. Décédée dans l’accident avec les deux parents. Ça ne l’éclairait en rien et il reparti chercher le dossier de George dans la pile sur son bureau. Il fini par le trouver et chercha l’endroit où était expliquée la cause de la disparition des parents biologiques. Il fini par la trouver sur un feuille volante qu’il décida de lire en diagonale, histoire de se faire une idée. Il avala sa salive de travers.


    3 semaine plus tôt ~



    À suivre ( Mouahahaha )


Vous ! Oui, vous derrière l'écran !
.


    Prénom : Clémentine Very Happy
    Pseudo/surnom : À vous de voir, c’est votre rôle de m’en trouver un Wink
    Comment a-tu connu notre forum ? Glandouillage et Top-site
    Combien de jour par semaine passera-tu ici ? Je passerai surement tout les jours pour voir comment les choses évoluent Smile
    As-tu une remarque à nous faire pour aider notre petit forum adoré ? Erf, euuuuh… j’aime beaucoup le thème Very Happy ( c’est censé être constructif comme remarque, ça ? xD )
    As-tu trouvé notre petit code ? - Code OK By Allyson ~ ♥️ -
    Autre chose à rajouter, c'est le moment : : D’habitude je ne m’inscris pas sur un forum avant d’avoir fini ma fiche, mais là je le fais vu que j’ai peur qu’on me pique mon petit Mady avant qu’elle soit terminée ♥️ Et au fait ! Pourrais-je avoir l'image de George dans les prédéfinis s'il vous plait ? '-' Merciii ♥️

    Ahem, juste pour m'excuser du retard qu'a prit ma fiche ><" Mais avec la rentrée tout ça j'ai vachement moins de temps pour écrire é__è' Quoiqu'il en soit, je pense la finir dans la semaine qui vient et, au pire, le week end prochain !
    Voilà, merci pour votre patience ~
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George Dorndenier - « A cup of tea, my dear ? »

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